Miki { End.

.SCHIZOPHRENIA.

Nom : Kasitsy { Real.Name ~ Kirino
Prénom : Sharo { Real.Name ~ Miki
Surnom : Miyu.
Age : 16 ans.
Orientation sexuelle : Tout ce qui bouge.
Crimes : Coups et blessures, tentative de meurtre au poignard.
Tics : Mache sans cesse du chewing-gum, enlace toute présence.
Autre : Elle porte des lentilles rouge, a un piercing sur la langue, joue du piano et elle a un secret bien gardé qu’elle ne divulgue à personne.
Description Morale :
C'est une chose, qui s'accrochera jusqu'à en crever pour arriver à son but. Peu importe les autres et leurs ambitions, leurs rêves ou même eu-mêmes. Egoïsme ? Non, vouloir réussir ce qu'on entreprends et avoir des ambitions, c'est tout. Même si les difficultés s'accumulent, que tout ce barre sur son chemin, elle est déterminée. Oh oui, car ce ne sont pas les raisons qui manquent...
Une enfant modèle, presque cliché. Ne voyant pas l'utilité de mentir ou de tricher, réussissant quasiment tout ce qu'elle faisait, aucun défaut ne venait salir sa solide réputation de bonne enfant. Elle se liait facilement d'amitié et acceptait le destin, de telle manière que lors des séparations, elle restait calme, sans protester. Il en était ainsi, c'était tout. Peut-être prédestiné à devenir médecin ou une profession qui s'offre à ceux qui surpasse l'enseignement, ce ne fut pas le cas. Et d'une manière ou d'une autre, elle devait l'accepter. Virtuose du piano, dès que ses mains se posaient sur les touches, elle oubliait tout. Ses problèmes, aussi rares soient-ils à l'époque, et jouait, des merveilles qui se dessinaient au fil de la musique. Tout les débats prenaient fin dès qu'une touche résonnait. Tous se taisaient, juste pour oublier dans l'espace de quelques instants les insanités de l'humanité. Cette société qui virait au cauchemar à cause de la jalousie, l'égoïsme. Tout cela entraînait le meurtre, et même les plus jeunes s'y mettaient. Mais tous, dans cette réflexion intense qu'était la vie, jamais ils ne se doutèrent que Sharo en ferait parti.
Les temps ont bien changé, les bonnes manières étaient toujours présente, l'attitude n'en était pas moins semblable. L'intelligence domine toujours dans ses capacités, utilisé pour la vengeance. Elle ne supporte plus l'autorité, le fait d'obéir et être soumise à des conditions stupides, ça l'insupporte au plus haut point. Et là où avant elle restait sage sans rien dire, aujourd'hui elle fait comprendre que cela ne lui plaît-pas. Coups, avec des poings ou des armes, tout les moyens sont dissuasifs et personne ne prends alors la peine de venir lui ordonner quelque chose. La logique est un de ses points forts et opte souvent pour la meilleure solution en ce qui concerne les décisions difficiles. C'est une demoiselle posée, réfléchie et qui n'agit pas sous une impulsion soudaine. Analysant d'abord tout les choix qui s'offrent à elle, Sharo en tire toutes les conclusions et ce qui peut être le meilleur. Pour arriver à des résultants satisfaisants, elle n'hésite pas à y inclure des pions, des personnes qui l'aideront de manière indirecte, sans intention particulière. Elle manipule et adore ça. Le monde est naïf, à un tel point qu'il devient facile de leur faire faire des choses qui les terrifie, sans qu'ils s'en rendent compte. Stupide créature qu'est l'homme. Tous essaie de se dépasser et au final, seul dont l'avenir est le plus compromis domine les autres. La clé de ce succès est peut-être la confiance de soi-même. Combien sommes-nous prêt à donner pour nos ambitions ? Que sommes-nous prêt à faire pour réussir ? La détermination, ce n'est pas ce qui pose défaut à la jeune fille, son âme en étant rempli. Sa raison ? Peut-être la vengeance, une haine si forte qu'elle anime chaque pulsion de son coeur, le rythmant et l'alimentant de sang dangereux, bouillonnant. Toute innocence à disparu, ce n'est pas pour autant qu'elle est violente, au contraire. Douce et obstinée.
Description Physique :
Une plume... Une plume rouge sang, gorgée d'amour et de déceptions.
Sharo est une jeune fille au physique frêle, tel un squelette que l'on pourrait casser au moindre toucher. Pour contredire tout cela en douceur, elle se jette dans les bras des personnes qu'elles côtoient, sans exceptions. N'ayant pas pour autant la peau sur les os, elle trône du haut de son mètre cinquante trois. Jamais complexé plus que ça sur sa taille, elle y affiche peu d'importance, jugeant cela désillusoire de se préoccuper autant de son physique. Ce n'est pas pour autant qu'elle délaisse cette occupation, qu'elle embellit à la couture pour confectionner ces propres chefs-d'oeuvres comme elle les surnomme. Généralement, nombres de dentelles se retrouvaient sur ses créations, variants du blanc au noir, en passant bien évidemment par le rouge. Sa chevelure se détermine par un délicieux blanc, semblable à la neige et argenté par endroits. Ses cheveux descendent longuement, frôlant le bas du fessier, remontant en dégradé. La demoiselle arbore de grands rubis pour cacher le vulgaire gris de sa couleur originel. Cela à son charme, possédant un regard naïf et doux, le rouge tranche avec son image peu flatteuse. C'est une mer de sang. Les vêtements dont elle se vêtit sont principalement une longue chemise, ample aux manches et serrés à la taille, soulignant ses formes bien proportionné, avec un jean simple, foncé et clair. Pour souligner tout cela et rappeler qu'elle n'est pas innocente, elle porte un sweet à capuche, de couleur bordeaux. Rare sont les fois où elle l'ôte, gardant généralement la capuche en permanence.
Paré de ces vêtements, sa démarche se définit le plus souvent par une nonchalance en l'absence d'entourages. Quand il y a du monde, elle finit souvent accroché sur le dos de quelqu'un, n'usant ainsi pas de ses jambes.
Concernant les accessoires, elle n'a pas de sac, fourrant tout dans ses poches. Que ce soit celles de jeans, ou de son sweet, elle y mets tout et c'est par un miracle des plus étonnants que cela ne craque pas. Passant du téléphone portable, à la croix de fer, toutes ses affaires y sont au moins passé une fois. N'arborant que de très rares bijoux, la jeune fille sort souvent avec deux bagues, reliés par une chaîne, assez courte. Aucune signification mise à part un signe de sa coquetterie, assez peu exhibé. Aucun colliers, aucun bracelets. Certes, c'est esthétique mais gênant. Sauter au cou de quelqu'un avec un bracelet de force peut faire mal, hélas. Quoique, certaines fois, cela l'arrangerait.
Peut-être un de ses bijoux préféré, ou objets qui embellissent, elle porte fièrement un piercing à la langue, qu'elle n'hésite pas à tirer pour taquiner ou tout simplement faire taire une tirade inutile.
Saison préférée : Hiver.
Mot préféré : " Sweeeeetie ! "
Expression préférée : Nothing.
Plat préféré : Les sucreries, Cupcakes généralement.
Relations :
KAWANARAI ZUTTO
son amour de toujours même si se fut une relation à sens unique, avant à ses yeux il était l’homme parfait, le mari idéal, maintenant il est juste une créature à séduire et à exterminer pour mieux détruire Sato.

KIRINO SATOSHI
son frère pour l’état civile mais dans son cœur il est mort et enterré depuis longtemps, elle espère le revoir vite pour mieux l’enfoncer après

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Pseudo : Sharo
Comment as tu trouvé ce forum ? Zoé <3
Ta note sur 10 : 9. J'attends impatiemment le nouveau thème =p
Code : Tiens voila ton Kiri ma patate /PAN/

Histoire :

20, Août 2009.
Ca fait deux mois. Et pourtant j'ai l'impression que c'était hier. Je me retrouve enfermé dans quatre murs, à cause de toi. Et dire que je t'aimais tellement, Oni-San. Mérites-tu encore ce surnom affectif ? Pauvre tache... J'aimerais que tu lises ce journal, pour que tu saches la vérité. Oui, avant de te traîner dans la boue lamentablement, je te ferais lire ceci. La vérité, telle que je l'ai vécu, pour que tu regrettes un peu l'enfer que ma vie est devenue. Pour que tu chiales de regrets.
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Nous avons toujours vécu ensemble correctement, presque dans la richesse. Oka-San et Oto-San nous aimait. Que demander de plus ? Une éducation parfaite, des enfants sans problèmes, même avec un écart de trois ans, aucunes disputes ne venaient nous entacher. Peut-être n'as-tu pas apprécié le fait que je te surpasse ? Que je sois la fierté de la famille par mon comportement, qu'est-ce qu'il s'est passé pour que tu m'oublies ainsi, que tu me donnes tes erreurs ? Et dire que je venais dormir avec toi, contre toi. Dire que mon corps s'est réfugié auprès du tiens, ça me dégoûte. Pourriture, tu m'as donné tellement d'espoirs, cela aurait pu être infini. Mon nom n'est que la marque de ton passage, la marque d'un être qui n'aurait jamais du se trouver sur cette terre, jamais. Ce s'est même renforcé quand Oka-San nous a apprit son cancer. Elle allait mourir, celle qui nous avais conçu, élever, nourri. Celle qui nous avais donné la vie. Certes, tu m'as réconforter, chaque soir, me protégeant constamment, prenant tout sur toi. Mais qu'était-ce au final ? Quelques brouilles, ce fut tout. J'ai supporté des brimades, des coups, de la honte pour ta simple personne. Zutto... Je me souviens de toi, homme de mes rêves ou de mes cauchemars présents. Je t'aimais et tu n'as jamais été capable de le voir. Amour à sens unique, amour désespéré. Mais je pouvais toujours te contempler en secret, supporter cette situation, même en sachant que je n'étais rien pour toi. Que la soeur de ton meilleur ami, seulement la chose de quelqu'un qui représentait tout pour toi. J'étais une poussière; et tu as soufflé dessus.
Je t'en veux, je t'en veux, je t'en veux. Pauvre erreur, pourquoi as-tu emménager, il y a 15 ans ? Tu aurais du rester chez toi, avec ton cher père, ministre du pays. Tu aurais du pourrir seul, sans entraîner la perte de la famille Kirino avec toi. Tu as fait de mon frère un violeur. C'est à cause de toi que tout s'est déclenché. En te liant à Sato, tu lui a fait subir le regards des autres. Les enfants sont terribles, tu aurais du le savoir. Mon frère se faisait torturer, mentalement, physiquement, et toi, au lieu d'apaiser sa souffrance, tu as pris un couteau et tu as remué, profondément et intensément. Tu as pris les auteurs des brimades et tu les a séquestrés, aveuglés par ton cher meilleur ami. Tu n'as fait qu'aggraver la situation. La rendre plus dangereuse si quelqu'un découvrait tout cela. Et tu as entraîné Oni-San dans ta chute, tu l'as fait devenir un violeur invétéré. Et tout cela à l'époque, je ne le savais pas. Je n'aurais jamais voulu le savoir.

Alors que je rentrais de l'école, je ne me rappelle plus la raison qui m'a fait détourner de mon chemin habituel, j'ai croisé trois personnes. Une fille et deux garçons. Ensanglantés, les vêtements déchirés, la peau sur les os et ils étaient terrifiés. Ils fuyaient. Quelque chose de dangereux, à un tel point que j'ai pris peur. Je n'ai pas réfléchi, j'ai pris mon téléphone et j'ai appelé la police. Oh Sato... Si j'avais su que c'était toi, si j'avais su que tu avais fait ça plus tôt, je ne l'aurais jamais fait. Je ne t'aurais jamais envoyé en prison... Je regrettes tellement... Mais tu dois probablement t'en foutre, tu m'aurais abandonné pour Zutto d'un moment ou un autre. Je... Je suis devenu folle... Quand j'ai vu, à la maison, les policiers débarquer d'un seul coup, t'emmener Oni-San, j'ai crié, hurlé, j'étais paniqué, j'étais... Tellement coupable. Tu as été envoyé en prison, j'étais noyé dans les regrets, ne sachant plus quoi faire. Je me suis abîmé, je n'ai plus mangé. J'ai perdu toute humanité, voulant me faire mal et ne cherchant pas un instant à me conserver. Il ne me restait personne. Maman était morte, un jour plus tard. Tu étais parti. Et tout cela, à cause de moi. Que me restait-il ? Un père accablé de travail, qui tentait de subsister en se noyant dans l'alcool. Tu me manquais. C'est à ce moment là que tout à commencer.
Je n'ai plus été Kirino Miki. Non, j'étais la soeur de Kirino Satoshi, coupable de violes et de tortures. Et même en soulignant que je n'avais rien à voir avec cela, ça n'a pas empêché le monde d'en venir à une logique qui me dépasse. J'étais impliqué involontairement par les liens du sang. Foutu toi ! Ils venaient sonner à la porte pour m'insulter, je ne pouvais plus aller au lycée. Je ne pouvais faire quelques pas dehors avant que quelqu'un hurle mon prénom suivi d'insanités. Si ce n'étaient que des dommages orales, ce n'étaient pas si gênant. Mais les coups ont commencé à pleuvoir, comme si les mots ne suffisaient plus. Ils m'ont frappé, partout. Au visage, j'avais l'oeil enflé en permanence, et mon corps était couvert de contusions. Je me rappelle que j'ai tenté de sortir une nouvelle fois pour allé au conservatoire, la musique étant la seule chose que je ne reniais pas encore, plusieurs personnes se sont jetés sur moi et j'en suis ressorti avec plusieurs fractures et des côtes cassés. J'ai souffert Oni-San, c'était l'enfer le plus pur et le plus dur. Personne n'a le droit de subir ça à la place d'un autre, c'est toi qui aurait du se trouver par terre dans la rue, roué de coups. Ca aurait du être toi, pas moi.
Oto-San dans tout ça ? Peut-être sa vision commençait à faiblir sérieusement ou alors l'alcool et les joints le rendait inconscient mais il n'a pas essayé de me défendre, pas une seule fois. Pour continuer à enseigner et m'éviter de sortir dehors, le lycée envoyait un taxi me chercher, à la porte de la maison. Je sortais avec un parapluie, nombre de projectiles étaient lancés dans ma direction à la sortie. " Assassin ! " Criez-t-on, c'était insupportable. Au lycée ce n'était pas mieux, et pour mon plus grand bonheur, peu de personnes étaient au courant pour toi Sato. Mais un jour, c'était trop. Je ne pouvais plus, je n'avais plus la force de subir en silence. Une fille stupide a dit le mot de trop, sans plus attendre, j'ai saisi une fourchette de mon plateau et lui ai enfoncé dans la main, appuyant fortement. J'ai terminé avec ton couteau Oni-San. Tu t'en souviens ? Tu m'as dit de le garder pour me défendre. Alors je me suis défendu de toi ce jour là. Je l'ai poignardé en pensant à toi. Et je ne l'ai pas regretté une seule fois.

Ils n'ont pas fait comme toi, ils ne sont pas venu me chercher à la maison, ils m'ont directement embarqués. J'ai tout expliquer. A quoi bon mentir quand le fait était là ? Je suis passé par toute sorte de psychiatres, des plus incongrues aux plus utiles. Ce fut le dernier qui me servit, il avait tout compris. Avertissant le père de Zutto pour user de son autorité, il lui demanda de me transférer au pensionnat. Oui. Celui où tu étais. Seulement, je ne pouvais pas venir comme une fleur. Je t'ai réservé une surprise. J'ai demandé des faveurs, qu'on m'a accordé sans problèmes. Pour toi, je serais Sharo. Celle qui t'écraseras et t'ôteras de la tête ce petit paradis. Ils n'ont pas protesté, acquiescé sans savoir mes motivations et sans vouloir les connaître. Tant mieux. Ca m'aurait ennuyé de leur mentir.
J'étais une nouvelle chose. Oto-San était enfin mort, l'alcool et la drogue avaient enfin eu raison de lui, lui ôtant la vie avec la plus grande simplicité. Je partais avec de nouvelles bases, de nouveaux but.
Faire de ton bohème un cauchemar. Mon cauchemar.
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Sharo reposa le journal, rangea sa plume en nettoyant l'encre au bout, et débarrassa le bureau. A travers les fenêtres de sa nouvelle chambre, les oiseaux chantaient mélodieusement, comme un air de Mozart. Elle s'effondra en larmes.

.... magnifique présentation, ton style me mets toujours la larme à l'œil. Que dire sinon validée chère administratrice de mon cœur <3 ?

Merci, Merci... Ca me fait chaud au coeur. Thanks my dear potatoe <3 { Jouons dans la finesse du kiri ;3 }

xD exactement bon je déplace ^^ et encore merci de ton retour

J'adore ce que tu as fait de ma soeur, vraiment chapeau bas ^^ j'ai hâte de jouer avec toi soeurette ^^

Thank you Oni-San >o<
J'ai pris les 3 versions différentes de l'histoire ( Celle du post vacant, la tienne et celle de Zutto ), j'ai collé des post-it partout, avec les dates et ce qui s'est passé pour tout rendre cohérent... J'ai bien aimé faire la fiche <3

Bah en gros tu t'es inspiré de moi, vu que j'ai écrit les histoires des trois persos mdr mouahahahaha je suis le meilleur